Mafia et Franc Maçonnerie
20/11/2015 Grade Apprenti.
La franc maçonnerie est une institution qui aime l’humanité, qui aime la sagesse, et qui ne se confine pas dans le passé (philanthropique, philosophique et progressive, elle pratique la SOLIDARITE.
Je me suis parfois posé la question de savoir, si la solidarité ne pouvait pas basculer vers des secteurs plus obscures, voir illégaux, et comment transmettre les valeurs acquise dans le temple sans franchir la limite de la plus noble, des solidarités. Comment protéger nos valeurs individuelles, dans un groupe parfois lui-même potentiellement enclin a des valeurs inavouables comme, la prise de pouvoir, la prise d’intérêt personnel. Comment s’assurer de la pérennité et de l’intégrité d’un groupe, sans se poser cette question. Qui peut, affirmer ne jamais basculer vers l’inavouable, qui peut aujourd’hui affirmer être un homme juste et bon soumis a aucune tentation de quelque nature que ce soit.
Le mot solidarité, désigne d’abord un fait : comme les maillons d’une chaine sont solidaires, ils sont dépendants les uns des autres, mais la solidarité ne se choisit pas, elle s’exprime par un groupe enclin au partage. Il s’est toujours trouvé parmi les FM des hommes dévoués, qui ont eu cœur de s’attacher à secourir les frères infortunés, leurs veuves, leurs orphelins, bon nombre d’hommes ont sacrifiaient une part de leur temps, de leur loisirs, et sans doute de leurs biens, pour pratiquer la vertu SOLIDARITE Si le FM a pour devoir, en toutes circonstances d’aider, d’éclairer, de protéger son frère, même au péril de sa vie, la FM a pour devoir, d’étendre à tous les membres de l’humanité les liens fraternels qui unissent les FM sur toute la surface de la terre. Dans la circulaire de 1776, le grand orient disait, le but que nous poursuivons, consiste à établir entre tous nos prosélytes , une communication active de sentiment, de fraternité, et de secours en tout genre, a faire revivre les vertus sociales, à en rappeler la pratique, enfin, à rendre notre association utile à chacun des individus qui la composent, et qui est utile à l’humanité même. Il y a sans doute plusieurs formes de solidarité, toutes à la reconnaissance de chaque humain en tant qu’humain dans un cadre étatique, international, ou mondial. L’idée sous jacente à ces formes de solidarité est celle du souci de l’autre, logé a la même enseigne que soi . Cet autre, sera lié par un même destin à porter. Mais la notion est bien plus complexe, car elle connait un regain d’intérêt qui depuis le milieu du 19 éme siècle, a donné lieu d’un point de vue laïc, au solidarisme une doctrine plus complexe, prenant souvent appui, sur l’idée de passer d’une dette contractée ensemble à celle du devoir social.
Ce devoir social est –il un risque à l’intégrité de nos valeurs ? En réalité, avons-nous dans notre organisation des garants solidement ancrés à nos valeurs et qui peuvent faire obstacle à des débordements. Sommes nous pour autant préparés à réagir face à une manipulation interne, voir externe et pourrions nous dévier, vers des actes inacceptables ?
Ma question est donc : L’acte criminel est il possible en franc maçonnerie, et peut-on luter contre lui. Dans cette planche, J’ai volontairement pris l’exemple de la mafia à des années lumières de nos valeurs maçonniques, et comme notre philosophie est la sagesse, elle ne devait être que le contre exemple de notre organisation.
Ce monde qui nous sépare d’elle, c’est aussi celui qui la sépare la mafia des voyous, car la mafia est une organisation secrète, et non un gang de voyou. On n’y rentre pas par copinage, mais par initiation L’entrer en mafia passe par une cérémonie lors de laquelle le novice est piqué au doigt par son parrain. Lorsque coule le sang ce dernier avertit « Ceci est un lien de sang Ton allégeance à Cosa Nostra ( notre cause ) est scellée par le sang, si tu violes ton serment, ton sang coulera.
A chacun ses coutumes, il n’empêche que chacun des signes a une signification Au premier degré de la FM le signe dit » Guttural » dans son interprétation traditionnelle, nous rappel comment le notre coulera, puisqu’il est dit que j aimerai mieux avoir la gorge coupée, que de révéler les secrets qui m’ont été confiés
Les règles sont établis, le novice reçois une instruction sur les règles intangibles de la mafia Cosa Nostra passe en premier et avant tout le monde. Si tu deviens l’un des nôtres, ton père n’aura plus la priorité sur toi. Un frère ne passe pas avant un autre, nous ne faisons qu’un. Il n’existe pas de lien plus fort entre les hommes que l’entrée dans notre famille. Voila ce qui différencie une mafia d’une simple bande criminelle.
Dés l’enfance, l’impétrant a été subtilement imprégné des valeurs mafieuses, le jeune est observé, jaugé longuement par les anciens ; puis abordé prudemment. On lui parle par allusions, par sous entendus, par demi silences, ce mode d’expression, s’appelle l’omerta ? Si les réactions de l’intéressé sont positives, commence alors les enquêtes en remontant jusqu’à deux générations en arrière, Durant cette enquête, le nom de l’impétrant est transmis pour contre indications éventuelles (Orale bien sur)
Au moment de son initiation, le nouveau, se doit accepter le code d’honneur suivant :
– Ne pas courtiser les femmes d’autres hommes d’honneur.
– Ne pas voler et ne pas se livrer au proxénétisme.
– Ne jamais évoquer Cosa Nostra devant des profanes.
– Ne pas tuer d’autres hommes d’honneur, sauf sur ordre.
La Mafia tue parfois beaucoup, mais en général en ultime recours, confirmant de fait que les entités criminelles et les organisations mafieuses recourent d’abord à la corruption, et a l’intimidation, et pas à la violence. La corruption et l’intimidation servent contre des individus et des institutions tant privé que publiques Les entités criminelles n’usent de la violence qu’en dernière instance car la violence les rends visibles et révèlent leurs objectifs.
L’homme d’honneur est l’alpha et l’omega de toute philosophie mafieuse La mafia c’est avant les hommes qui la compose et l’homme d’honneur est un homme qui ne doit révéler a personne son appartenance sous peine de mort immédiate
La mafia a ces règles, sont règlement intérieur, pas d’adultère au sein du groupe, du reste, les grands mafieux comme Vincenzo RIMI n’ont jamais trompé leur femme, L’alcoolisme y est prohibée Une personne ivre n’a plus de secret. Le mafieux a un métier la mafia n’est pas un métier.
La mafia c’est aussi une institution, munie de fonds secrets considérables, entretenant une foule d’agents, terrorisant les directeurs de journaux d’information, les députés, les sénateurs, les magistrats du parquet. Ils propagent des rumeurs calomnieuses Unis par des intérêts communs, ils sont solidaires et se soutiennent avec tous les moyens dont ils disposent
pouvons-nous devenir des criminels au sens de loi ? Je n’ai aucune raison de douter de notre intégrité et du respect de nos valeurs. Mais voila que l’actualité parle de La loge P2 qui dans les années 70-80 cette loge déviante de l’ordre maçonnique ultraconservatrice, à œuvré pour le retour de l’ordre au mépris des règles démocratiques. La loge Propagande massonica n’avait a l’origine rien de secret, dans la diffusion des valeurs maçonniques comme le progrès, la clarté auprès des institutions et pourtant elle a basculé. Alors pourquoi pas nous ? L’affairisme va-t’il faire perdre son âme à la franc-maçonnerie ? Depuis deux siècles, les différentes obédiences vivent dans le secret. C’est leurs règles, mais la multiplication des affaires dans lesquelles des frères sont impliqués fait voler ce secret en éclats et ouvrir les yeux sur ce monde mystérieux, où le meilleur, des idéaux d’égalité et de fraternité côtoie le pire. Comme Ici en marge de l’affaire ELF ce sont des habits et des insignes frappés du compas et de l’équerre, qui sont découverts lors des perquisitions. Là dans tel ou tel dossier ce sont des frères de la loge Spinoza qui sont inculpés. Certes, il faut se garder de tout amalgame : seule une minorité des francs maçons est impliquée dans les affaires, mais rare sont aujourd’hui les dossiers politico financiers ou l’un d’entre nous n’apparait pas. Le phénomène a pris une telle ampleur que les principales obédiences n’ont que l’obligation de renvoyer les instigateurs de ses faits et parfois les trainer en justice profane. Les exemples sont nombreux et pourtant il est une valeur forte dans la franc- maçonnerie qui est la solidarité. Elle est la dépendance des hommes les uns à l’égard des autres, dépendance qui fait les individus comme faisant partie d’un même tout et où la vertu doit être présente, mais aussi ou elle peut être oublié à cause de cette dépendance.
La vertu appelé solidarité, disait Léon Bourgeois (né en 1851 1925 préfet de police a paris et initie a la sincère de Reims le 15 juillet 1882 expliquait que la solidarité c’était l’union volontaire et le dévouement réciproque des hommes. La solidarité, fait la solidarité du devoir, et pas l’inverse
La solidarité est-elle vraiment le meilleur garant à l’intégrité, et au respect des valeurs maçonnique ? Alors même que son organisation passe par des contradictions, qui peuvent provoquer des niveaux de différences, et motiver les envieux d’une part dans l’organisation maçonnique et d’autre pars dans le parcours même, de chacun d’entre nous. Comment comprendre que nous sommes tous égaux ( Rappel ) Article 7 de la constitution au sein des réunions maçonniques, tous les francs-maçons sont placés sous le niveau de l’égalité la plus parfaite Il n’existe entre eux d’autres distinction que celle de la hiérarchie des Offices.
Même si ces fonctions n’ont qu’un lien de fonctionnement pour la loge, elles peuvent être parfois un tremplin vers des ambitions cachées. Dans le cas du vénérable maître, combien estiment avoir atteint un cran supérieur lors de cette prise de fonction. Combien revendiquent l’accession à ce titre comme une référence à un savoir ! Alors que cette même organisation, ordonne le descendant de charge à devenir le couvreur comme pour lui rappeler au cas où, que la fonction n’‘était pas une fin en soit mais un début à autre chose. Combien de haut grade, complètent leurs parcours en témoignant qu’à ce stade ils sont renvoyés au grade d’apprenti …..
Peut être, est elle une façon de rappeler les valeurs de l’égalité des frères en loge, et pourtant cette perception n’est pas toujours partagée et fait l’objet parfois de différents.
Un frère de la loge, me dis un jour, Georges, je suis déçus que notre vénérable maître n’ai pas annoncé en tenue, la nomination d’un frère de notre loge à une fonction très importante.
Je lui demande alors pourquoi ne pas laisser l’intéressé s’il le souhaite nous l’annoncer lui-même l il me réponds, que l’attitude du vénérable maitre n’est pas normale et que nous devrions tous être fier d’avoir un de nos membres à ce poste.
Pourquoi valoriser une fonction par apport a une autre, puisque nous sommes égaux ? Pour moi, la fierté, appartiens à celui qui souhaite la porter, et qui l’estime important ou faisant partie de son parcours maçonnique, mais je n’ai nullement envie de le flatter. Je ne donnerai jamais ma fraternité, à un frère pour sa fonction, mais uniquement pour la valeur humaine qu’il représente.
La question est donc de savoir, si nous devons être indifférent à l’autre et le laisser se perdre pour qu’il puisse mieux se retrouver, ou doit on intervenir avant qu’il n’emporte avec lui d’autres frères et sœurs dans sa perception d’une situation.
Il est difficile me semble t’il, de mesurer ou se situe l’équilibre entre la solidarité et l’ingérence et l’ingérence avec le harcèlement
Je n’ai pas de réponse, mais les exemples de basculement prouvent que le risque est réel et qu’il nous différencie que de très peu des organisations mafieuses. Comme dans les cas cités, mais aussi dans d’autres affaires, comme dans l’organisation du club 50 qui traite plus de dossiers d’appels d’offres que de réunions maçonniques, ou dans le cas de détournement de biens immobiliers par des frères peut scrupuleux, nous avons aussi, une présence particulièrement importante de frères et de sœurs qui appartiennent à des fraternels dans la justice, les ministères, la police, les banques chez , les magistrats, dans le BTP. Ce qui nous vaux des affaires comme à Nice ou un frère juge d’instruction, est mis a la retraite pour confusion de genre entre sa robe et son tablier, ou dans des affaires de corruptions établit par une fraternelle des professions juridiques de NANCY et Adhérente au cercle LOTHAIRE le club 50 de la ville.
J’ai cherché, à trouver une réponse, j’ai lu, j’ai discuté, mais je n’ai pas trouvé immédiatement la réponse à ce questionnement : jusqu’au jour où à force de chercher j’ai eu le sentiment de découvrir une piste. Puisque nous formons une chaine c’est cette chaine qui nous permet de résister à la tentation.
Cette chaine pour qui la mesure de sa résistance se calcul par apport au maillon le plus faible. Peut être, que c’est lui notre réponse car ce n’est jamais la chaine maçonnique qui est mafieuse mais un ou quelques frères qui représenterons le ou les maillons faibles. Alors de quels moyens disposent les francs maçons pour contrecarrer cette possibilité de basculement ? La réponse, est peut être tout simplement dans nos serments.
Pour devenir mâcon, nous avons un devoir de respect de notre serment. Le serment vient des termes grec horkos ce qui renferme un secret et en latin sacramentum et sacrale donc une notion de sacré.
Le serment peut se définir comme une affirmation solennelle, en vue d’attester devant une assemblée, la vérité d’un fait ou d’une sincérité, ceci en risquant de devenir parjure par le nom respect du dit serment, exposant le franc maçon alors a des châtiments de différentes natures. Le serment naît dans l’obscurité, sous le bandeau, et la nuit prépare le jour. Ce jour qui donnera la lumière comme une direction pour le futur, non-pas comme une chandelle de courte durée, mais comme un phare montrant définitivement la voie. La quiétude, et la confiance aveugle que met le postulant dans cette détermination à tenir ce serment, sera l’énergie dont il devra faire preuve tout au long de son parcours maçonnique.
Deux notions se dégagent de ses premiers serments, d’une part sur la notion du plus haut, à qui le maçon doit son engagement et à qui il demande protection et en second du respect de l’engagement qu’il a pris et pour lequel il s’engage à répondre de ses actes.
Cette notion prends au fils du temps une importance dans les serments : Il s’agit du mot mâcon, ce mot lui constituait un secret majeur chez les opératifs, puisqu’il conditionnait leur accès a l’apprentissage du métier de mâcon
La première référence jusqu’ici connue du serment des maçons se trouve dans le régius de 1390 « Tout maçon prête serment sincère d’être fidèle en tout aspect aux traditions, règles et lois qu’en son métier » Le maçon, prête alors, serment devant les patrons chrétiens, des tailleurs de pierre, et devant Dieu.
Le manuscrit Cooke de 1410 lui fait prêter serment par exemple aux patrons vétérotestamentaires du métier (de Cain et Jabel pour les maçons, Jubal pour les musiciens Tubalcain pour les forgerons Naamah pour les tisseuses)
Nous devons donc travailler sur le respect de nos engagements à nos grades respectifs, c’est eux qui avec le temps forgerons notre parcours maçonnique et ferons de nous des maillons forts ( présences aux tenues , présentation de Planches, réunion entre frère et sœurs , agapes, visites de loges. Travail profane … ) sont autant de moyens mis à disposition de notre parcours maçonnique, mais aussi, et surtout sur le travail de la solidarité. Comment comprendre cet engagement sans en respecter son sens. Nous devons accepter la contrainte que peut représenter cette engagement sur nous même, souvent difficile, voir violent mais tellement utile, c’est un peu comme le travail du kinésithérapeute, qui nous force à nous dépasser parfois dans la douleur, pour une meilleur rééducation tellement salutaire pour notre avenir physique et mental.
Le maillon faible, est peut être celui qui arrive en maçonnerie, il est dans les ténèbres, aspire à la lumière c’est celui que nous protégerons et que nous devrons former. Il deviendra avec le temps certainement un maillon fort de notre chaine maçonnique. Et notre choix de le recevoir parmi nous est crucial Les trois enquêtes ont une importance sur l’engagement maçonnique du profane, car il sera un frère ou une sœur de la loge et sa formation reviendra au rôle important que représente le travail des deux surveillants. Ce travail doit être juste, adapté a chacun, avec une grande capacité de patience et un véritable savoir de transmission, S’ils manquent à leurs devoirs ils deviendrons alors eux même parjure. Proposé des maillons faibles dans une chaine qui se doit d’être forte, pour résister aux tempête, en tenant l’encre solidement accroché au fond, c’est vouer le bateau à la dérive et à son échouement.
Cela reviens à dire, que nous sommes dépendants les uns des autres à quelque niveau que ce soit, apprentis, compagnons, maitres, seul la force de chacun d’entre nous à nous soutenir, dans le respect de l’autre à nous entraider à nous transmettre nos valeurs et répéter sans cesse, pourquoi sommes nous en Franc maçonnerie sera notre force de résistance à la tentation.
« Sur cette équerre emblème de la conscience de la rectitude et du droit sur ce livre de la constitution qui sera désormais ma loi je m’engage à garder inviolablement le secret maçonnique à ne jamais rien dire ni écrire sur ce que j’aurai pu voir ou entendre pouvant intéresser l’ordre a moins que je n’aie reçu l’autorisation et seulement de la manière qui pourra m’indiquée
JE PROMETS DE TRAVAILLER AVEC ZELE, CONSTANCE, ET REGULARITE A L ŒUVRE DE LA FM JE PROMETS D AIMER MES FRERES, ET DE METTRE EN PRATIQUE EN TOUTES CIRCONSTANCES, LA GRANDE LOI DE la SOLIDARITE HUMAINE QUI EST LA DOCTRIME MORALE DE LA FRANC MACONNERIE JE PRATIQUERAI L ASSISTANCE ENVERS LES FAIBLES, LA JUSTICE ENVERS TOUS, LE DEVOUEMENT ENVERS MA FAMILLE ET MA PATRIE ET ENVERS L HUMANITE ET LA DIGINITE ENVERS Moi-même »
Le philosophe, Edgar Morin a dit « Une société ne peut progresser en complexité que si elle progresse en solidarité ».
Cette complexité des maillons faibles que forme un groupe, une nation et qui fait réfléchir sur l’engagement de la solidarité, c’est elle qui est le risque majeur d’une capitulation vers la tentation à la déviance. C’est aussi celle , si nous passons au dessus qui rends notre cause encore plus noble. J’en veux pour exemple La franc-maçonnerie Israélienne, où avec l’arrivée d’immigrants aux origines diverses donnent naissance à des loges parlant l’ anglais, le français[1], allemand, l’ espagnole, le turque, le russe, le roumain s’appuyant parfois même sur les rites de chacun de ces pays.
Ou encore dans le cas des loges en langue hébreu ou l’arabe s’appuient sur le Rite anglais de la Grande Loge unie d’Angleterre.
Cette diversité, dans ces exemples rend l’histoire de la franc-maçonnerie israélienne d’une grande complexité mais grâce à la solidarité, elle arrive à rassembler une fois de plus ce qui est épars
A l’instant, je pense aux immigrés, qui quittent leur pays en guerre pour vivre heureux et qui sont ’entassaient dans des centres de rétentions inacceptables et où ils passent du statut de réfugier au statut de terroriste potentiel dangereux. Nous avons un long travail à fournir pour convaincre ceux qui hésitent encore sur les valeurs de cette belle solidarité, nous devons garder à l esprit, quelle est le moteur de nos engagements et que nous n’avons pas le droit de manquer à nos devoirs.
Et puis, il existe certainement la plus belles des solidarités, qui s’organise en un moment précis, dans un temps très court, souvent chargés de tellement d’émotion, d’effrois, de terreur qu’elle ne laisse la place à aucun autre intérêt, que d’être solidaire les uns des autres, comme pour retrouver l’union d’un groupe réunis dans une grotte à l’abris de l’ennemi. C’est cette solidarité qui dépasse l’humain par sa grande générosité et que nous devons garder comme guide.
JDVM